« L’Eucharistie est la source et le sommet de toute la vie chrétienne »
A l’église de la paroisse du Saint Sacrement :
Samedi : messe anticipée du dimanche à 18h00
Dimanche : messe à 10h00
A la Chapelle Tibhirine (251 rue André Philip) :
du mardi au vendredi messe à 18h30
Le mot « Eucharistie » signifie « action de grâces ».
C’est le peuple qui rend grâce au Père, par son Fils, dans l’Esprit pour le don qu’il nous fait de sa Vie.
C’est par l’Eucharistie que nous est donnée la Vie de Dieu, le Pain de la route.
Recevoir le Pain de Dieu nous invite à partager notre pain avec nos frères en humanité.
L’Eucharistie structure la vie chrétienne, elle la ponctue, elle est la respiration dans la vie spirituelle.
C’est une actualisation de la Pâque et non pas sa répétition ou son simple souvenir.
L’Eucharistie, ou la messe, est un rappel de la dernière Cène, de la mort et de la résurrection de Jésus Christ.
La consécration à la messe est réelle : le pain et le vin deviennent vraiment le Corps et le Sang du Christ. La messe est offerte à Dieu le Père comme geste d’offrande. L’Eucharistie est une nourriture donnée par Dieu aux hommes afin qu’ils vivent de lui.
Un chrétien doit se préparer à recevoir le Corps du Christ pour la première fois. Ensuite, il est invité à communier à chaque eucharistie, particulièrement le dimanche.
La célébration eucharistique comporte toujours, en une seule et même action : la proclamation de la parole de Dieu, l’offrande du Christ à Dieu le Père – dans laquelle nous sommes invités à nous intégrer – l’action de grâce à Dieu le Père pour tous ses bienfaits, surtout pour le don de son Fils, la consécration du pain et du vin et la participation au repas liturgique par la réception du Corps et du Sang du Seigneur Jésus. Le Christ se donne.
Celui qui veut recevoir le Christ dans la Communion doit se trouver en état de grâce. Celui qui a conscience d’avoir péché gravement ne doit pas communier sans avoir reçu le pardon par le sacrement de la Pénitence.
Source : Conférence des évêques de France
Offrir une messe ?
Les fidèles peuvent apporter au sacrifice eucharistique une offrande personnelle afin d’y participer plus étroitement. En effet, en donnant un peu d’eux-mêmes (leur travail, leurs biens), ils prennent part à l’offrande que Jésus fait à son Père.
Par leur offrande (financière), ils n’achètent donc pas la bienveillance de Dieu – elle nous est définitivement acquise en Jésus -, ni ne paient la messe, car son prix est infini.
Cette offrande ne peut donner lieu à un reçu fiscal.
Célébrer une messe à une intention particulière est un service spirituel qui est accompli en conscience par le prêtre.
A quelle intention offrir une messe ?
Chaque fidèle peut légitimement demander que soit célébrée, le dimanche ou en semaine, une messe pour une intention particulière :
- pour les vivants ou les défunts de sa famille
- pour accompagner des proches dans tous les moments de leur vie (heureux ou difficiles)
- pour rendre grâce à Dieu pour des jeunes mariés, des anniversaires de mariage, un nouveau baptisé, des moments forts de la vie…
Offrir une messe par chèque
- Le montant de l’offrande est fixé par l’Assemblée des Évêques de France, et depuis le 1er janvier 2014, elle est fixée à la somme de 18 €.
- Pour une Neuvaine (correspond à la célébration de 9 messes quotidiennes consécutives), le montant de l’offrande est fixé à 180 €, selon vos possibilités ;
- Pour un Trentain (célébration de 30 messes quotidiennes consécutives à la même intention). le montant de l’offrande est fixé à 550 €, toujours selon vos possibilités.
Vous pouvez adresser votre offrande de messe par chèque libellé à l’ordre de Paroisse du Saint Sacrement